Cette nuit, j'ai fait un commentaire dans Le ciel au-dessus de la rue, où Larry a écrit un billet somptueux sur Pierre Bonnard.  J'avais très envie aussi de montrer la lithographie de Bonnard intitulée Rêverie car c'est ainsi que je m'imagine Catherine Ternaux enfant.
Mais c'est Philippe qui sait ajouter des illustrations.  Il fallait attendre aujourd'hui.
Certains passages du livre m'ont également fait penser à Kitty : "Une volonté très lucide alliée à une sensibilité primesautière" [...] Bonnard est enjoué et grave, réservé et tendre; on trouve chez lui la force et la douceur, l'imprécision et l'ordre. A peine a-t-on parlé de sa prudence qu'il faut évoquer son audace - de sa folie qu'il faut montrer sa raison; il est distrait, mais parce que singulièrement attentif."