"Bonjour, tristesse"... Le charme de ce livre venait de la légèreté extrême de cette culpabilité. Je parle de "légèreté", comme on dit de la monture d'une bague qu'elle est légère, une culpabilité, en somme, réduite au minimum... Autrement dit, me charme chez Françoise Sagan, un souci d'élégance dans l'attitude volontiers pécheresse, qui me semble un avatar mélancolique de la vertu...
  
                                                 (écrit le 22 10 90)