samedi, février 27 2010, 12:52
Dans "Bonjour, tristesse"
Par Lika Spitzer - Textes épars - Lien permanent
"Bonjour,
tristesse"... Le charme de ce livre venait de la légèreté extrême de cette
culpabilité. Je parle de "légèreté", comme on dit de la monture d'une
bague qu'elle est légère, une culpabilité, en somme, réduite au minimum...
Autrement dit, me charme chez Françoise Sagan, un souci d'élégance dans
l'attitude volontiers pécheresse, qui me semble un avatar mélancolique de la
vertu...
(écrit le 22 10 90)
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