Bien triste, en ce moment, "faut vien le dire", comme dit Montserrat Caballé. (J'adore quand elle parle français ! En parlant des avions qui passaient pendant son récital, elle :"il faut vien dire que pouRR la puissance qu'ils ont, ils font bien peu de rumeuRR..." Et elle riait de son rire magnifique.)
Ce soir, je dois aller voir un ballet avec mon héros et (aïe) des gens de sa boîte. Il paraît que c'est un ballet. Blanche-Neige, au Palais de Chaillot. Tout le monde en a entendu parler, et on me rassure : "T'inquiète. Tu vas voir, c'est très bien". Ah oui ?
Sur ce blog, dans mes Textes de Jeunesse j'avais mis Fin pour Blanche-Neige. Si vous avez le courage d'aller le lire, je vous remercie. Mon blog est trop bizarre. Sans musique, ou presque, sans petits bouts de films, et cela m'attriste. Que de progrès à faire ! Et je n'ai pas toujours le courage d'avoir du courage. Ah, la ferveur, quelle belle chose, n'est-ce pas... Au revoir.