Les jeunes choristes, en leurs vêtements si rouges, lumineux, tiennent devant eux leur partition ouverte comme autant d'oiseaux alignés, prêts à l'envol... Leurs ailes d'ange au creux des paumes, ils chantent et chantent notre migration à tous vers le paradis.
     Nous pourrons les revoir - je l'espère - ce mercredi 21 septembre à 17 heures, sur Mezzo, dans Le Messie de Haendel.
     Car ce qui nous avait manqué à Florence, dans les peintures du temps de La Renaissance figurant le paradis, c'était, je crois, de n'entendre aucune musique...