Je n'ai pas réussi à retrouver le texte si drôle où Montaigne parle de ses préférences culinaires, et déplore qu'on lui enlève un plat pour lequel il a du goût, pour le remplacer par un autre, et encore un autre, et un autre ! Cette manie de substitution de plats, dans les dîners où il est invité, l'agacent au plus haut point.
Et impossible de me rappeler si c'est dans le livre I, ou II, ou III... Avec ça, il cite tant d'auteurs latins que je ne connais pas, que j'en perds mon... français.