mercredi, février 17 2010, 00:48
Sans titre
Par Lika Spitzer - Textes épars - Lien permanent
Les femmes à qui on tue leurs maris et leurs enfants m'intimident. Cette douleur est la seule royauté devant laquelle s'incline et se déchire mon âme de papier.
10 commentaires
Ben alors Lika, Ou es tu donc ?
Partie, revenue, overbooked ?
bises
Idem.
D'écrire 'simplement' cela vous place, avec moi, dans une autre échelle du développement humain.
Congénèrement votre.
Norma J
Aïe, chère Norma J : "Echelle du développement humain"... Mais cela contredit ce que vous dites de ma simplicité. Je vous remercie pour Bette Davis. Moi aussi, j'ai eu une grand-mère, euh... Je vais placer à votre intention un chapitre tiré de mon Tournesol de Davos, ensemble regroupé en 1990 (à croire que je donne dans le posthume !) Quant à l'intelligence de ma mère, je dirais que je connais la colère, mais la haine, non. Je me demande pourquoi.
Il me vient, cher Corto, le sentiment que ton blog n'est pas fait pour moi. Je ne m'y sens plus à mon aise. Je vais rester quelque temps en stand by... Et pourtant j'ai de l'affection pour toi.
Caramba ! tu m'en vois très contrarié ! quelque chose t'aurait déplu ? Lassitude ? pas envie ? Merci de me le faire savoir, je n'aime pas décevoir si tel était le cas. Tu sais où me trouver :)
Bises
Oui, vous avez bien lu: échelle du développement humain! N'y voyez là qu'un excès de scotch qui rend imprécise (et improbable) la finesse que j'aimerais avoir. Devant la qualité et la concision de votre texte, il eut mieux valu...
J'attends avec plaisir votre chapitre du Tournesol de Davos (vos manchettes sonnent pour moi comment des titres de jazz).
J'aime cette histoire de scotch - qui va bien avec les titres de jazz... Je vais derechef placer les chapitres en question. A bientôt, Norma J...
@Corto Tu es intelligent, tu sais très bien ce qui me déplaît. Va regarder dans le commentaire adorable que tu as mis quand t'a été envoyé mon texte "Les folles". Et tu comprendras, relisant tes propres mots ce qui peut me déplaire.
@ Larry, l'écrivain aux cent noms... Tu m'amuses avec ton histoire flipper. Je vais sur l'heure voir ce qui se passe chez toi !
Bon , j y retournes parce que je n ai toujours pas vu !
bises
@Corto Je t'ai répondu, cher Corto, le 24 02 2010 à 15h 50. Faut-il que je recopie mon message ?