dimanche, janvier 24 2010, 11:51
Chaque nuit
Par Lika Spitzer - Journal - Lien permanent
En ce moment, je tombe souvent malade
Je crois que c'est
de ne plus voir la lune.
Depuis quelque temps,
chaque nuit,
je baisse les stores sur un ciel inhabité.
8 commentaires
Y aurait-il un brin de tristesse, de mélancolie dans l'air ?
Je dis ça parce que j avais ecris un texte " la lune se faufile" un soir de tristesse et de mélancolie.
Bises
Eh bien oui, cher Corto...
Il n'y a pas de ciel inhabité avec toi, il y a au contraire plein d'étoiles
voilà comme je vois ton ciel
Je t'embrasse
Mireille
@Corto J'aimerais bien lire "La lune se faufile". tu me l'envoies ? Bises à toi.
@Mireille Tu es adorable, comme toujours.
Tu te rappelles ? Dans" Le tournesol de Davos", je disais que j'aimais ton indépendance. Et tu avais à peine onze ans !
Sais-tu qu'un éditeur m'a reproché de reculer quand il s'agit de me faire éditer ? Ben oui, quand ce n'est pas un ami, l'escargot rentre ses cornes... Mais lui, on dirait que c'est un ami. Wait and see... Je t'embrasse, en ce lieu public... !
tiens le lien pour la lune qui se faufile, tu doubles clique et hop t arrives dessus. mais bon c est pas de la grande littérature, bises
http://corto74.unblog.fr/2009/12/06...
J'ai une tendresse particulière pour Mireille et votre amitié d'enfant.
Mireille qui sentait le savon cadum. Mireille, indéflectible, fait les plus beaux commentaires de ce blog.
Les choses abîmées de l'enfance deviennent inoxydables quand elles l'ont traversée
@Noutchka : merci, petit bout. Que dire de plus, aujourd'hui ? Si, un truc : viens m'aider pour l'informatique... tu sais bien comme je patauge... SOS !
@Corto J'ai "tenu" et cliqué deux fois trois choses comme j'ai pu : ton adresse mail, ton blog, ton message, et rien d'autre. Qu'aurai-je dû tenir ? Je serais honorée de te lire, tu sais. Quant à la "grande littérature", pour moi cela n'existe pas. Il y a juste des textes qui sonnent juste,- selon moi, bien sûr - ou pas. Bon, alors on fait quoi ? N'oublie pas mes origines helvétiques, dont bien des amis se moquent. ("Ah, c'est ton versant suisse...")
Cher Corto, j'ai fini par comprendre comment il fallait faire ! Je t'ai donc mis un commentaire avec une GROSSE faute d'orthographe (aggravée d'une récidive !) à "étincellent" ! La te-hon !